La vie est là, tranquille,
Prosodie aphone,
Paisible et monotone.
Des Cévennes, de la ville.
Je me sens amputée,
De l'une, de l'autre, des deux,
De toi en moi écorchée
De moi en toi arrachée..
Amour fortes
Dont jamais ne cesse le feu
Amours mortes,
Qui rongent et torturent
Mais que l'on entretient.
Vorace et aimable silure
Qui nous retient
Et nous épure.
Aucun commentaire:
Enregistrer un commentaire